<body><script type="text/javascript"> function setAttributeOnload(object, attribute, val) { if(window.addEventListener) { window.addEventListener('load', function(){ object[attribute] = val; }, false); } else { window.attachEvent('onload', function(){ object[attribute] = val; }); } } </script> <div id="navbar-iframe-container"></div> <script type="text/javascript" src="https://apis.google.com/js/platform.js"></script> <script type="text/javascript"> gapi.load("gapi.iframes:gapi.iframes.style.bubble", function() { if (gapi.iframes && gapi.iframes.getContext) { gapi.iframes.getContext().openChild({ url: 'https://www.blogger.com/navbar/4000921?origin\x3dhttp://asimagensenos.blogspot.com', where: document.getElementById("navbar-iframe-container"), id: "navbar-iframe" }); } }); </script>
sábado, dezembro 31, 2005
IMAGENS DA CHINA

No mesmo livro uma imagem de uma professora a ensinar poesia, fotografia de Eve Arnold (1979).
0135

Reescrevo o que está escrito:

"The image is what brings out concept; language is what clarifies the Image. Nothing can equal Image in giving the fulness of the concept; nothing can equal language in giving the fulness of the Image."

Wang BI (A.D. 226-249) from "Elucidation of Images".
 
José Carlos Abrantes | 12:07 da tarde | 0 comments
IMAGENS DA CHINA

China

Porque nos sentimos implicados com os desertos, os aldeãos, as actividades agrícolas ou industriais, as os mercados, os templos, Mao, Miss Lin que estão, em fotografias, de vários autores, neste livro? Talvez pela qualidade do fotógrafos, talvez pela riqueza daquele gigantesco país, sem que se devam esquecer os atropelos incríveis aos direitos humanos. Talvez porque hoje todos sabemos que a China está aqui, ao nosso lado.

"Fifty years inside the People's Republic", Aperture
 
José Carlos Abrantes | 7:57 da manhã | 1 comments
sexta-feira, dezembro 30, 2005
RECONHECIMENTO que aprecio

No Abrupto, José Pacheco Pereira incluiu este blogue nas BOAS COISAS NA COMUNICAÇÃO SOCIAL PORTUGUESA EM 2005, VISTAS POR UM GRANDE (EM QUANTIDADE) CONSUMIDOR, ontem dia 29. Assinalo pois é um reconhecimento importante por vir de quem vem e pelas companhias citadas, que também aprecio.


"Blogues de jornalismo, sobre jornalismo (pela segunda vez na lista das “coisas boas”) – Os blogues especializados em “comunicação” em sentido lato são o melhor conjunto de blogues com um tema específico na blogosfera portuguesa. Exemplos: Engrenagem, Indústrias Culturais, Ponto Media, Atrium, Jornalismo e Comunicação, As Imagens e Nós, Blogouve-se etc."
 
José Carlos Abrantes | 3:38 da tarde | 0 comments
BLOGUES

Um grupo de professores lançou uma interessante iniciativa blogues : os prémios BLOPE.
 
José Carlos Abrantes | 3:00 da tarde | 0 comments
IMAGENS: O INSTANTÂNEO

Fréderic Lambert, um semiólogo que recentemente contribuiu para a Trajectos, organizou, em 1989, este catálogo de uma exposição sobre o scoop ou instantâneo. Os instantâneos ainda se mantêm bem vivos.

Scoop
 
José Carlos Abrantes | 1:05 da tarde | 0 comments
IMAGENS EM LIVRO

Saíu um livro que conta a história da fotografia a partir de livros escritos sobre fotografia.

Le Livre de photographies : une histoire, volume 1, édité par Martin Parr, textes de Martin Parr et Gerry Badger, 320 p., 248 photos, 75 €.

Eis como o Le Monde de 29, assinalava este primeiro volume (texto de Michel Guerrin).

"Voici un ouvrage qui va faire joliment grimper le marché des livres anciens d'images fixes. Il a pour titre Le Livre de photographies : une histoire, volume 1. Soit raconter une histoire du médium photographique à travers les meilleurs livres publiés. Deux cents livres sont retenus dans ce tome 1 qui court du XIXe siècle jusqu'aux années 1970 (le second tome est en préparation). Pour qu'un ouvrage soit sélectionné, il faut que les images soient remarquables ou qu'elles disent une époque (même si leur auteur est inconnu). Il faut aussi que la mise en page soit audacieuse ou radicale, que les textes soient pertinents, l'impression irréprochable. A l'arrivée, on voit bien ce qui relie ces livres : ils sont plus proches de l'objet culte, d'une oeuvre d'art en soi, que d'un album de photographies.

Le livre est porté par deux ingrédients excitants. D'abord son auteur principal, Martin Parr, un des grands photographes d'aujourd'hui, dans la veine documentaire. Il est aussi un des trois ou quatre plus importants collectionneurs de livres de photographie dans le monde. Et puis, il y a son approche : s'il retient les grands livres déjà connus qui ont marqué l'histoire, comme American Photographs, de Walker Evans, il fait découvrir aussi des curiosités. Parce que c'est d'abord le livre qui prime et non la réputation du photographe. Ainsi Martin Parr peut être excité par un livre confidentiel sur le pain — mais dont le style de prise de vue résonne avec les grands maîtres des années 1960-1980.

On regrettera des erreurs et approximations dans le texte sur le XIXe siècle. Au-delà, sans doute cet ouvrage manque-t-il de textes plus rigoureux. Mais il fourmille d'informations. Les couvertures des livres et de nombreuses double-pages sont reproduites en donnant au lecteur l'impression de relief. Ce travail de reproduction est remarquable. La somme de Parr est donc indispensable et montre que le support livresque a été plus important que l'exposition dans la divulgation de l'art photographique."
 
José Carlos Abrantes | 12:48 da tarde | 0 comments
quinta-feira, dezembro 29, 2005
A EDUCAÇÃO na imprensa e nos media
No DN noticia-se uma nova revista sobre educação Pontos nos iis que sairá mensalmente e será dirigida por Santana Castilho. É uma aposta que vale a pena fazer e que abrirá certamente a porta a iniciativas semelhantes noutros orgãos de imprensa. No Ministério da Educação também está em andamento para uma iniciativa neste campo. As televisões também poderia dar atenção a este terreno, um assunto nacional de grande importância.
 
José Carlos Abrantes | 8:40 da manhã | 0 comments
quarta-feira, dezembro 28, 2005
IMAGENS EM CITAÇÃO

"Il viendra un jour où les images remplaceront l'homme et celui-ci n'aura plus besoin d'être, mais de regarder. Nous ne seront plus des vivants mais des voyants."

André Breton
 
José Carlos Abrantes | 6:00 da tarde | 0 comments
IMAGENS DE TELEVISÃO

O texto de hoje de João Lopes, no DN, é um texto justo sobre o blogue Irreal TV feito por Rui Cádima.
 
José Carlos Abrantes | 1:10 da tarde | 0 comments
terça-feira, dezembro 27, 2005
PROVEDORIAS As imagens do Le Monde

Le MondeNa crónica de Robert Solé os leitores do Le Monde voltam a manifestar opiniões muito diferentes sobre a reestruturação do jornal recentemente ocorrida. E um dos assuntos chave continua a ser a inclusão de imagens e o novo papel que estas desempenham no jornal.

Eis um excerto da crónica de Robert Solé, "Les photos pour le dire", crónica de 24-12:

"Oui,
Le Monde a changé, écrit Catherine Desbuquois (Paris). Il offre de grandes photos en couleurs, de grands graphiques en couleurs... Encore un effort, et Le Monde sera un journal comme les autres !" Marianne Elzière, de Juelsminde (Danemark), attend "des informations, des réflexions, pas des illustrations tapageuses de l'actualité", tandis que Michel Debar, de Wépion (Belgique), a parfois "l'impression d'acheter du vide."

Eric Fottorino, maître d'œuvre de la nouvelle formule, avait expliqué dans le numéro du 8 novembre : " Le Monde n'est plus seulement un journal de mots. Il s'ouvre de façon claire à la photo et aux infographies pour apporter aux lecteurs, en plus du traditionnel dessin de presse, une vision plus riche et pertinente de l'actualité."

La couleur a été privilégiée : un couplage des rotatives, à l'imprimerie du Monde, a permis d'augmenter le nombre des pages en quadrichromie. Le journal, qui, jusqu'ici, puisait essentiellement dans les photos d'agence, fait de plus en plus appel à des photographes pour accompagner des reporters sur le terrain.

"En une vingtaine d'années, Le Monde est passé d'un intégrisme anti-photographies à leur omniprésence aujourd'hui", constate avec regret un lecteur du Pornic (Loire-Atlantique), Teodoro Gilabert. En réalité, depuis le 7 novembre, ce n'est pas le nombre des photos qui a augmenté, mais leur taille. On a abandonné la multitude de vignettes, qui servaient trop souvent de bouche-trous, pour des images beaucoup plus imposantes.

"Quand la fonction illustrative des photos prend le pas sur leur fonction informative, elles ne servent plus le texte, elles l'encombrent et parfois le polluent", souligne François Mangenot (Strasbourg). C'est aussi le sens du courriel de Michel Bouvier : "Pour être plus lisible, je ne pense pas qu'il faille augmenter démesurément la taille des titres, des photos et des dessins. Est-il utile d'avoir sous les yeux des gélules géantes pour comprendre l'article sur le Tamiflu ? A un certain moment, on devient tellement lisible qu'il n'y a plus grand-chose à lire."

Dans un univers où les images abondent, Le Monde pouvait-il les ignorer ? Devait-il tout miser sur le texte pour affirmer sa différence ? Certains lecteurs, comme Emile Arié (Paris), en sont convaincus : "Ce ne sont évidemment pas des photos en couleurs que l'on vient chercher dans un "journal de référence", qui a pour vocation de ne traiter chaque jour que de ce qui est jugé essentiel."

Un autre choix a été fait : essayer d'être en phase avec la société, sans pour autant se banaliser. Laurent Abadjian, directeur de la photo à Télérama après l'avoir été à Libération, est venu prêter main-forte à l'équipe du Monde. C'est un regard de journaliste et non de décorateur qu'il porte sur l'actualité. "Une photo trop petite, explique-t-il, ne permet pas une lecture assez sophistiquée. En particulier dans le domaine politique, le plus difficile de tous, où les acteurs cherchent à contrôler leur image. Nous n'avons pas seulement à les montrer en action, mais à montrer comment ils se mettent en scène. Au congrès socialiste du Mans, notre photographe a saisi, à 3 heures du matin, un aparté frappant entre Hollande, Montebourg et Peillon. Une manière de montrer les coulisses, sans porter atteinte à la vie privée ou déshumaniser les personnes."

Dire aussi l'actualité avec des images est, pour la rédaction du Monde, un grand changement. Une nouvelle "écriture" se cherche. Cela suppose de choisir et de cadrer chaque photo avec le même soin et la même exigence que pour rédiger des articles. Une nouvelle "écriture "se cherche, qui ne supporte ni l'emphase ni les mots creux.

 
José Carlos Abrantes | 1:16 da tarde | 0 comments
PROVEDORIAS

A crónica do provedor do El País de 18 de Dezembro trata de 2 assuntos diferentes.

O primeiro relaciona-se com a indicação de nacionalidade num crime. "Un lector remitió el domingo pasado un escueto mensaje. "Página 16 del periódico de hoy, en su columna: 'No debe titularse una noticia con la nacionalidad del autor de un crimen'. Página del cuadernillo de Madrid: Detenidos 17 chinos por falsificar películas, CD de música y bolsos. ¿Lo de que fueran chinos es un dato vital de la noticia?".
He aquí una clara demostración de que el éxito del Defensor del Lector en su tarea es relativo, por decirlo de alguna manera.
Jesús Duva, redactor jefe de Madrid, responde a la pregunta: "El lector tiene razón en su queja. En este caso, la nacionalidad de los detenidos es irrelevante. Lo noticioso es que la policía detuvo a una organización de falsificadores de CD y películas, al margen de quiénes fueran los infractores. Todos los redactores saben que no hay que titular por la nacionalidad o la etnia de las personas, salvo que esa circunstancia sea la que convierta un hecho en noticioso. Pero a veces, como ha ocurrido en esta ocasión, se desliza un error al fallar los controles, cuya responsabilidad asumo".

Vale a pena citar as deliberações do Conselho Audiovisual da Catalunha a este propósito: "El Consejo Audiovisual de Cataluña (CAC) aprobó en enero de 2002 unas recomendaciones sobre el tratamiento informativo de la inmigración, de entre las que destacamos ésta: "La enfatización de las referencias a cuestiones como el origen o el color de la piel de los protagonistas de algunas noticias a menudo no añade información relevante al relato, no es estrictamente necesaria para la comprensión del hecho y, en cambio, actúa como refuerzo de prejuicios y como clave implícita de interpretación de intención negativa o condenatoria. Conviene administrar con criterio responsable, ponderado y crítico este tipo de referencias, a fin de servir estrictamente a las exigencias de una información detallada, precisa y completa".

Una crítica que se hace a los defensores de reducir al mínimo las alusiones a la nacionalidad es que, si no se informa de ello, se está hurtando información, y el primer deber de un periodista es informar. El CAC aborda así esta cuestión: "Las autoridades, los medios y los profesionales tienen el deber de no ocultar la verdad y de servir al derecho a la información, pero también comparten la responsabilidad social de promover la convivencia, en un contexto de libertad, pluralidad y civismo".

Numa segunda parte refere-se um erro sobre os critérios para estabelecer os graus de obseidade infantil, erro que foi corrigido.
 
José Carlos Abrantes | 9:24 da manhã | 0 comments
LE CANARD ENCHAINÉ

revela que uma declaração de Yannick Noah sobre Sarkozy foi retirada de uma entrevista publicada na Paris Match de 15 de Dezembro. Noah, ex-tenista, declarou
"Une chose est sûre : si jamais Sarkozy passe, je me casse !". Isto a propósito de uma eventual vitória de Sarkozy nas próximas presidenciais. Estou-me a lembrar das declarações de Saramago. Não foram retiradas. Eis a notícia do Le Monde:

"Une chose est sûre : si jamais Sarkozy passe, je me casse !" Cette réaction de Yannick Noah à une éventuelle élection de Nicolas Sarkozy à la présidence de la République aurait dû être l'une des "quatre vérités à la France" prononcées par l'ex-tennisman dans une interview accordée à Paris Match. Curieusement, dans le numéro daté du 15 décembre, l'avertissement de l'interprète de Saga Africa a disparu.

Une coupe inopinée révélée par l'hebdomadaire Le Canard enchaîné du 21 décembre. C'est au moment du bouclage qu'Alain Genestar, directeur général de la rédaction, aurait sorti les ciseaux. Selon l'hebdomadaire, il aurait voulu éviter de se brouiller à nouveau avec le ministre de l'intérieur. Nicolas Sarkozy s'était fâché après la publication en "une" de Match, en août, de la photo de Cécilia Sarkozy au bras de son nouveau compagnon, le publicitaire Richard Attias. La brouille avec Alain Genestar aurait duré depuis, avant que, tout récemment, les deux hommes se réconcilient.

Une paix des braves signée, précise encore le Canard, jeudi 1er décembre après que le patron de l'hebdomadaire eut été reçu plus d'une heure par le ministre de l'intérieur. Dans ce contexte de reprise du dialogue, la déclaration de Yannick Noah aurait sans doute fait l'effet d'une fausse note. Joint par Le Monde, M. Genestar n'a souhaité faire aucun commentaire.

Guy Dutheil
 
José Carlos Abrantes | 9:01 da manhã | 0 comments
segunda-feira, dezembro 26, 2005
PROVEDORIAS

Acontecimentos do quotidiano
José Carlos Abrantes

Estamos longe do sangue, suor e lágrimas de algumas versões editoriais dos faits divers.

Os acontecimentos do quotidiano, mais conhecidos por “faits divers”, são objecto de notícia no DN. Para verificar qual a frequência e o tipo de tratamento que o jornal dá a estes acontecimentos, analisámos doze primeiras páginas do DN, os dias 15 de 2005. Além disso, seguimos o modo como foi relatado o caso da bébé de Viseu, Fátima Letícia, entre 14 e 23 de Dezembro, aliás um dos assuntos de uma das primeiras páginas.
Segundo Fernando Cascais (1), os “faits divers” são acontecimentos que estão ligados a paixões e pulsões humanas, sendo uma matéria recolhida da vida corrente. Mas a definição deste campo é complexa. Nos últimos anos o acontecimento de quotidiano ganhou uma dimensão social e o seu tratamento nos media generalizou-se, embora a partir de escolhas editoriais muito diversificadas.
Alguns autores consideram a particularidade que é estes acontecimentos relevarem da revogação de uma norma: norma natural (catástrofes, fenómenos inabituais), norma legal (delitos, roubos, raptos), norma humana (feitos incríveis, caprichos da natureza), norma moral (adultérios, incestos), mesmo um norma forjada pelo hábito. Alguns consideram o “fait divers” como uma narrativa que abastarda o jornalismo. Mas há nomes célebres associados ao estudo do tema. Roland Barthes, um famoso semiólogo francês, defendeu que o assassinato político se distingue do “vulgar” assassinato (faits divers) por este não ter dimensão histórica. Outro nome que se associa ao tratamento jornalístico de tais acontecimentos é Jean Paul Sartre. Este intelectual declarou em 1964 que a imprensa de esquerda não deveria deixar este terreno livre. Mesmo assim, o “fait divers” é frequentemente associado ao anedótico. Outros acentuam o carácter revelador dos problemas sociais dos “fait divers” ou mesmo a função de alerta que tais relatos desencadeiam.

Voltemos às primeiras páginas. Apenas duas, em doze, referem assuntos deste tipo. Uma delas é a de 15 de Novembro, segundo dia em que a criança maltratada é notícia. O DN titulou nesse dia “PJ critica comissão de menores no caso de bébé maltratada pelos pais.” A outra referência foi feita em 15 de Outubro de 2005 “Acusação pede 24 anos de prisão para mãe e tio de Joana”, uma notícia sobre o caso do julgamento da mãe e tio de uma criança assassinada no Algarve. Pela amostra, alguma sobriedade.
Como evoluiu o tratamento noticioso? Na primeira notícia a bébé não é identificada pelo nome, o que acontece logo no segundo dia. E nesse dia, a notícia, embora referindo o estado da vítima, em coma, introduz um elemento de crítica, formulada pela Polícia Judiciária à Comissão de Protecção de Menores de Viseu. O assunto ganha relevo e torna-se Tema do dia, logo no dia a seguir. As críticas oriundas da Polícia Judiciária, repercutidas em pedidos de explicações ao governo pelo Partido Popular, tornam ainda mais ampla a informação. Noticia-se também que a Inspecção Geral de Saúde investiga o tratamento de crianças. Constroem-se os personagens da tragédia com mais precisão: a criança ganha nome, bem como os pais, o que vem a acontecer, mais tarde, com a avó. Mostram-se em fotografias o pai preso, bem como a casa e uma foto de casamento. Referem-se outros casos ocorridos. Estabelece-se a cronologia da tragédia. No terceiro dia, dá-se conta da nomeação de uma comissão de inquérito pelo governo. Novos personagens continuam a surgir, nomeadamente o presidente da Comissão Nacional de Protecção das Crianças e Menores, Armando Leandro. Este reconhece que a formação dos técnicos das comissões, na detecção casos de maus tratos, é insuficiente. O Ministério da Justiça e o Ministério do Trabalho e da Solidariedade Social, bem como a comissão de Menores de Viseu e um Hospital desta cidade, entram também na problematização do ocorrido. Uma nova instituição a Associação de Pais e Amigos do Cidadão Deficiente Mental, onde a mãe de Fátima Letícia estivera empregada depois de regressar de França, é referida num texto de balanço (a 17 de Dezembro). Nesse dia, o DN publica também doze perguntas com respostas numa peça intitulada Da denúncia até à protecção. No dia seguinte novas questões surgem, agora ligadas ao estatuto dos membros das comissões, nomeadamente a falta de apoio judicial. Armando Leandro volta a depor e ouve-se o cónego Arménio Lourenço, director do lar de Santo António, em Viseu. Segunda 19, aventa-se a hipótese da adopção para na terça se voltar ao estado de saúde da bébé que já “reclama colinho”. A 22 de Dezembro refere-se uma reunião de trabalho do Director da Comissão Nacional com os técnicos da comissão de protecção de menores de Viseu. No último dia analisado, dia 23, há uma entrevista com Armando Leandro, a figura institucional mais visível na cobertura do DN. Algumas questões se poderiam colocar, desde a citação de algumas fontes com alguma generalidade ou imprecisão, a publicação da fotografia da detenção do pai da criança ou alguns estereótipos imanentes a tais casos. O essencial é que estamos longe da descrição apenas centrada no acontecimento, havendo elementos de contextualização geral da situação. O trabalho redactorial que não fica pelo sofrimento e pela dor, pela raiva e pelo desespero. O DN deu informações úteis aos leitores, alargou a discussão a problemas associados ao “faits divers”: o papel das comissões, a formação dos técnicos, o relacionamento entre serviços de apoio, a necessidade de articular políticas e comportamentos de diferentes agentes sociais. Estamos longe do sangue, suor e lágrimas de algumas versões editoriais. Faits divers que, enquanto tal, só existem como narrativas, embora nasçam no nosso quotidiano.

(1) Cascais, Fernando, Dicionário de Jornalismo: As palavras dos media, Lisboa, Verbo, 2001

BLOCO NOTAS

Faits divers
O estudo dos faits divers tem mais uma referência: o número 14 de Les Cahiers de Journalisme, editados pela Escola Superior de Jornalismo de Lille (França) e pela Universidade de Laval (Québec). A publicação é dedicada a Georges Auclair, recentemente falecido, autor de “Le Mana Quotidien”, obra marcante neste domínio.

O que pensam os jornalistas
Um dos artigos, da autoria de Annik Dubied, da Universidade de Genéve, foi feito a partir de declarações de jornalistas que trabalham na área do faits divers. A investigação considera que o faits divers é um assunto pouco valorizado no espaço público, mas também é mal considerado entre os profissionais entrevistados. As condições em que este se produz são decompostas em quatro fases: o modo como se inicia, o terreno, a redacção/ilustração e o seguimento do acontecimento. Neste última fase surgem questões novas: “Nas declarações dos jornalistas transparece igualmente a profissionalização das fontes (os advogados sobretudo), que se empenham, por vezes, em tentar influenciar como a informação é transmitida.” Uma das dificuldades situa-se no seu contacto com o terreno e na “gestão da carga emocional dos faits divers dramáticos, quando os jornalistas são confrontados com actores directamente implicados.”

O paraíso nunca existiu
Por vezes pensa-se que a imprensa actual é mais espalhafatosa e ligeira que a imprensa antiga. Marine M’Sili, investigadora do CNRS (França) analisa num outro artigo a mudança de significação do fait divers. Um dos jornais que esta estuda é Le Petit Marseillais, que surge em 1868, com o lema de publicar “tudo o que pode interessar as massas”. Logo no fim desse ano, três mulheres, com a ajuda de um herbanário e de uma outra mulher que deita cartas, assassinam os respectivos maridos. Na abertura do processo, o jornal instala um correspondente na cidade onde o processo corre. Relatos detalhados das sessões aparecem na primeira página e continuam nas páginas interiores. O sucesso é imediato: o jornal passa de uma tiragem de 5 700 exemplares para 42 mil, no auge do processo. Em 1914, o jornal vendia 200 mil exemplares. O sucesso, diz a investigadora, repousa sobre factores diversos, apoiando-se em crónica abundante dos faits divers. Não é de hoje a caça ao sensacionalista.



Escreva
Escreva sobre a informação do DN para provedor2006@dn.pt
Solicita-se aos leitores o envio de elementos identificativos: nome completo, morada e telefone de contacto.
Para outros assuntos : dnot@dn.pt

(Publicado hoje, no DN)
 
José Carlos Abrantes | 2:45 da tarde | 0 comments
sábado, dezembro 24, 2005
BOAS FESTAS

Mais Boas Festas, neste caso interactivas.
 
José Carlos Abrantes | 4:40 da tarde | 1 comments
MEMÓRIAS

Descobri o nº 2 de Le Sauvage, no meio de revistas antigas. Data de Junho de 1973, altura de uma crise de energia. Crise é uma palavra antiga como se pode ver. Grande crise também é uma expressão outrora utilizada. O que não quer dizer que não estejamos em crise em 2005 como em 1973. Entretanto o planeta sobreviveu.

Revistas
 
José Carlos Abrantes | 1:03 da manhã | 0 comments
quinta-feira, dezembro 22, 2005
BOAS FESTAS

KLIMT Sur l'Attersee, 1901

KLIMT Sur l'Attersee, 1901
 
José Carlos Abrantes | 3:19 da tarde | 2 comments
HUMOR EM IMAGENS

Um post do Doc Blog levou-me a
Serralves
vista pelos Daltonic Brothers. Vale a pena.
 
José Carlos Abrantes | 3:06 da tarde | 0 comments
quarta-feira, dezembro 21, 2005
CULTURA DE MASSAS

paganini
 
José Carlos Abrantes | 3:02 da tarde | 0 comments
terça-feira, dezembro 20, 2005
IMAGENS Aprender a ver

"Helena Almeida: Aprender a Ver" é o livro de hoje, do Público. Como não comprar com este título e esta imagem?
Helena Almeida
 
José Carlos Abrantes | 12:05 da tarde | 0 comments
PALAVRAS SOBRE IMAGENS

Também passei em Serralves na 4a feira. E li hoje o que a Leonor Areal escreveu no Doc Log sobre o que também vi.
 
José Carlos Abrantes | 11:57 da manhã | 0 comments
APLAUSOS

À afirmação final do texto de hoje de Eduardo Prado Coelho: "E a senhora ministra deveria definir um plano estruturado para modificar urgentemente o mal-estar de muitos professores."

Julgo que há muito a fazer, com regularidade. Por exemplo, assinalar com uma publicação anual o melhor que se vai fazendo nas nossas escolas. Que eu saiba nunca mais se fez um novo A Outra face da Escola (Ministério da Educação, 1994). Mas há outras coisas: premiar os bons docentes com melhores salarios e regalias mas também de modo simbólico. Ou mostrar com mais clareza que certas políticas são feitras para melhorar a educação, melhorar a qualificação dos alunos. Não basta escrever um artigo num jornal. É preciso difundir, de forma sistemática e organizada, as boas políticas.
 
José Carlos Abrantes | 11:19 da manhã | 0 comments
PROVEDORIAS

Por um jornalismo com memória
José Carlos Abrantes

Onde a memória dos políticos falha, a dos jornalistas deve pontificar


O DN de quinta feira, 8 de Dezembro, inseriu a seguinte nota do Gabinete de Imprensa do PCP: “O DN de ontem destaca “Ex-dirigente do PCP apoia Cavaco”. Ora acontece que a notícia se refere a Veiga de Oliveira, que aderiu ao PS em Janeiro de 1999, em cerimónia pública apadrinhada por Mário Soares e Manuel Alegre (ver DN de 8/1/99), depois de há 15 anos ter abandonado o PCP. Portanto, o DN, em vez de Ex-dirigente do PCP apoia Cavaco devia ter dado à notícia o título de Militante do PS apoia Cavaco. Mas o facto de a notícia omitir, vá-se lá saber porquê, a actual filiação partidária de Veiga de Oliveira levanta a questão de saber se alguém que sai do PCP passa a ser definido por ex-PCP ou por aquilo que de facto é, nomeadamente quanto às opções políticas que assume e aos partidos em que se integra. Mas levanta também a questão de saber se o prazo de validade para um ex-PCP é dez, 20 ou 30 ou mais anos e se é atribuído a todos ou apenas a alguns. Isto é, trata-se de saber se o critério que leva o DN a qualificar Veiga de Oliveira como ex-PCP se aplica, por exemplo, a Pina Moura, ao ministro Mário Lino ou aos candidatos Mário Soares e Manuel Alegre.”

Este texto, publicado na Tribuna Livre, levanta o problema da memória no jornalismo. Neste caso, foi esquecida a filiação recente e lembrada uma filiação antiga. E o texto não deixa de reflectir, com alguma ironia, sobre os critérios dessa memória, viva sobre acontecimentos mais antigos, inexistente sobre assuntos recentes. Nem sempre é assim. Nem no jornalismo, nem no PCP. O inverso é o mais frequente. Porém, onde a memória dos políticos e de outros actores sociais falha, voluntaria ou inadvertidamente, a dos jornalistas deve pontificar. Os jornalistas respigam toda a informação pertinente que contextualize e faça compreender aos leitores a vida política e social. Não podem confiar apenas nas declarações das fontes e dos protagonistas. Terão que passar algum tempo nos serviços de documentação ou nas pesquisas on line, em leituras especializadas ou em cursos de actualização para poderem ser mais eficazes a coligir informação pertinente, acrescentadora de factos, dados e interpretações que já foram avançadas noutros contextos. Essa é uma das riquezas do jornalismo: o valor acrescentado em informação. Tal valor só se consegue pela colaboração social e profissional no interior das redacções. O jornalismo é uma responsabilidade partilhada numa profissão colectiva. Este espírito é fácil de entender pois passa também pela cooperação e partilha de responsabilidades entre os jornalistas, os editores, os editores executivos, os directores. Embora, por vezes, no terreno concreto, esta cooperação e partilha de responsabilidades seja de difícil reconhecimento.

Solicitei a Francisco Almeida Leite os esclarecimentos convenientes, com conhecimento ao editor, como faço habitualmente. O jornalista considerou que a “informação fica mais completa com o dado adicional de que Álvaro Veiga de Oliveira é actualmente militante socialista (e com as quotas em dia, como refere à “Visão”)." É indiscutível que a peça ficaria mais completa se tivesse referido a filiação partidária actual de Veiga de Oliveira. O jornalista fez essa alusão na peça publicada vinte e quatro horas depois, no dia em que foi publicada a nota do PCP, na Tribuna Livre. “Não quis omitir a informação de que Veiga de Oliveira é militante do PS, caso contrário não a teria dado na segunda notícia publicada 24 horas depois.” Só não se entende porque, logo na primeira notícia, a militância actual não foi referida, o que teria retirado terreno ao protesto. Parece então ter havido algo que, parcialmente, justificou essa omissão. Francisco Almeida Leite sustenta “ser indiscutível que o nome de Veiga de Oliveira está muito mais associado ao PCP do que ao PS, onde nunca passou de um militante anónimo.

É um também facto que este importantíssimo ex-dirigente comunista aderiu ao PS em Janeiro de 1999, numa cerimónia pública, no Grémio Literário, apadrinhada não só por Mário Soares e Manuel Alegre (como diz a nota, com o efeito pretendido mais que óbvio), mas também por António Guterres, António de Almeida Santos e Joaquim Pina Moura. Uma informação que, registe-se, eu dou logo no dia seguinte (quando é também publicada a nota) e que, segundo julgo saber, constitui a única notícia naquela semana sobre o apoio de Veiga de Oliveira à candidatura presidencial de Cavaco Silva em que é expressamente referenciado que ele é militante do PS.” De facto, numa notícia semelhante, no Público, também apenas se referia a qualidade militante ex-comunista de Veiga de Oliveira.

Trata-se de um caso em que a memória de um passado bem marcado ofusca um presente mais discreto. Aos jornalistas cabe o dever de memória, mas este não pode ser selectivo. Seria despropositado esquecer o passado militante de Veiga Oliveira no PCP. E seria injusto dar o mesmo relevo ao presente socialista e ao passado de dirigente comunista deste cidadão. Este último foi de maior relevo e repercussão na vida pública.

A memória do passado, a espera do futuro e a atenção ao presente ordenam a maior parte dos ritos africanos, afirma Marc Augé, etnólogo (Les Formes de l’Oubli, Éditions Payot & Rivages). Assim possamos cumprir algo semelhante, com rigor, nas nossas sociedades.

Debates presidenciais
Os debates televisivos sobre as presidenciais que terminam hoje foram acompanhados no DN com uma particularidade que apraz registar. Cada debate, novos comentadores. Uma medida ágil que introduziu novas caras e pluralismo.

BLOCO NOTAS
Passado comunista
Francisco Almeida Leite acrescenta ainda motivos pelos quais o passado comunista de Veiga de Oliveira deve ser devidamente sublinhado: “Veiga de Oliveira foi um dirigente comunista de destaque antes do 25 de Abril, ainda na clandestinidade, e logo após foi duas vezes ministro das Obras Públicas e Equipamento Social, nos IV e VI governos provisórios. De 1976 a 1984 foi vice-presidente do grupo parlamentar do PCP na Assembleia da República e mais tarde entrou em rota de colisão com a direcção de Álvaro Cunhal. Elaborou documentos estratégicos apelando a reformas no interior do partido e o chamado “Grupo dos Seis”, que integrou com Vital Moreira, entre outros, acabou por ter um papel relevante ao abrir caminho a muitas cisões entre os comunistas. No PS, onde milita desde 1999, não teve militância política activa nestes poucos anos e agora aparece ao lado de Cavaco Silva, candidato apoiado por PSD e CDS/PP.
Em qualquer caso, o passado dos políticos é sempre um factor a ter em conta quando se elaboram notícias deste género. Não numa notícia de agenda, do dia-a-dia, mas numa que marque de alguma forma um regresso ou um facto novo, como esta evidenciava. Se não fosse assim, o passado maoísta de José Manuel Durão Barroso e a sua militância na juventude no PCTP/MRPP não seria lembrada passados 30 anos, quando assumiu a liderança do PSD, quando chegou a primeiro-ministro (em vários debates da campanha das legislativas de 2002) ou mais recentemente na imprensa estrangeira quando chegou a presidente da Comissão Europeia." Ou seja: um dirigente do PSD, da União Europeia, ou do PCP perde mais dificilmente a qualidade de ex- do que um mero militante (caso de Veiga de Oliveira no PS) ou de um artista. E deixemos, sem azedume, que a memória das dissidências, da história dos movimentos ou das instituições sejam objecto de trabalhos jornalísticos ou ensaísticos fundamentados.

Memória activa
Nem sempre o jornalismo activa devidamente a memória dos factos. José Pacheco Pereira declarou num debate recente: "(..) a memória activa seria muito importante nos jornais, mas este tipo de memória é pouco usual na imprensa portuguesa. Porque é que isso acontece? Porque há uma aceleração do tempo mediático e há um efeito de novidade. Como o sistema mediático valoriza a novidade, valoriza o rotação muito rápida das notícias e das emoções e isso favorece o esquecimento. Não é algo que derive apenas da formação específica dos jornalistas. É também um problema dos mecanismos mediáticos que são muito acelerados.”

Escreva
Escreva sobre a informação do DN para provedor2005@dn.pt
Para outros assuntos : dnot@dn.pt

Crónica publicada em 19 de Dezembro 2005
 
José Carlos Abrantes | 1:56 da manhã | 0 comments
segunda-feira, dezembro 19, 2005
JORNALISMO E JORNALISTAS

Jornalismo e jornalistas 24

São muitos os motivos de interesse da revista Jornalismo e Jornalistas (nº 24) editada pelo Clube dos Jornalistas. Saliento as reflexões de António José Teixeira, José Nobre Correia e Helena Garrido, que compõem um dossier.
 
José Carlos Abrantes | 3:54 da tarde | 0 comments
IMAGENS DE TELEVISÃO

Dois excertos da crónica de Eduardo Cintra Torres no Público de 18 de Dezembro

"A classe política foi a mais privilegiada nos programas de debate e de grande entrevista, mas «nem todos tiveram o mesmo direito à palavra televisiva» pois «ministros, líderes partidários e os deputados mais conhecidos» foram os «donos dos plateaux». A classe política «foi sempre privilegiada, mesmo para discutir temáticas que extravasam a sua esfera de acção» ? caso de uma edição de Esta Semana (SIC) sobre a crise do futebol português a cargo de três políticos (Bagão Félix, Silva Peneda e Oliveira Martins), exemplo que terá aberto caminho para a inflação de políticos alcandorados pela bola através da TV, de Valentim a Santana e Seara.
Segundo Felisbela Lopes, de 93 a 2003 a informação semanal manteve-se circunscrita à «elite do poder político» e «aos mesmos ‘confrades’». Quanto à RTP1, confirma-se o que intuitivamente sempre se soube: o «serviço público» procedeu à «legitimação do poder instituído», sem procurar a novidade e andando a reboque dos temas já sancionados pela esfera política.
A partir de 96 «o número de políticos diminui» na RTP1, o que coincide com a análise que fiz na época: durante a governação de Guterres a RTP eclipsou o debate político para favorecer o governo, que passeava as mensagens pelo telejornal. Isso contribuiu para se manter durante anos um forçado «estado de graça» que tantos comentaristas ingenuamente elogiaram."
(...)
"O fim de Nightline ocorre quando em Portugal já nem nos recordamos de programas autónomos de informação e debate na TV generalista. O único é o Prós e Contras, que tem servido nos últimos meses a mesma função que Felisbela Lopes encontrou na RTP dos anos de 1993-2003: o Prós e Contras é um mostruário de ministros. Sempre que um ministro precisa de debitar mensagem, organiza-se um Prós e Contras para ele. Claro, claro, está lá o contraditório, mas esse é o preço da evolução dos tempos. O programa serve a função de sempre do «serviço público»: o governo paga, o governo tem."


 
José Carlos Abrantes | 3:35 da tarde | 0 comments
WIKIPÉDIA e a falsa biografia

"Seigenthaler and Wikipedia- Lessons and Questions" é o case sutudy que pode encontrar aqui
 
José Carlos Abrantes | 3:17 da tarde | 0 comments
domingo, dezembro 18, 2005
APLAUSOS A FELISBELA LOPES

pela conclusão do seu doutoramento, na 2a feira. A televisão ficou mais forte pelo lado do conhecimento sobre o que faz e como faz.
Aplausos também ao Departamento de Ciências da Comunicação da Universidade do Minho onde estão sempre a acontecer novos trabalhos, novas iniciativas.
 
José Carlos Abrantes | 12:35 da tarde | 0 comments
IMAGENS EM CITAÇÃO

Cultura Popular

Johnson, S., Everthing bad is good for you: How popular culture is making us smarter, London, Penguin Book, 2005

(...) o crescimento da cultura popular é mais sofisticado, solicitando maior envolvimento cognitivo, cada ano que passa."
 
José Carlos Abrantes | 12:24 da tarde | 0 comments
sábado, dezembro 17, 2005
IMAGENS EM CITAÇÃO

"Equipamo-nos com próteses visuais para abandonar aos aparelhos o governo das nossas percepções." Hans Belting

"
 
José Carlos Abrantes | 9:54 da tarde | 0 comments
APLAUSOS

à atribuição do Prémio Pessoa 2005 a Luís Miguel Cintra.

In DN, Elisabete França e Maria João Pinto
 
José Carlos Abrantes | 6:23 da tarde | 0 comments
FESTIVAL DE IMAGENS Video

FIVA

O Festival Internacional de Video (FIVA) começou em 1987 e foi reactivado em 2004. Está anunciada a edição de 2006.
 
José Carlos Abrantes | 6:05 da tarde | 0 comments
sexta-feira, dezembro 16, 2005
FALAR DE BLOGUES COM JOSÉ PACHECO PEREIRA
Há mais uma razão para continuar com o Falar de Blogues: o relato do André.
Falar de Blogues com Pacheco Pereira, e mais qualquer coisa (Act IV)
 
José Carlos Abrantes | 2:40 da tarde | 0 comments
APLAUSOS A JOsÉ PEDRO CROFT

artista plástico, cujas obras circulam numa exposição, em cidades do Brasil. Recife, Belo Horizonte, Salavador da Baia, Rio de Janeiro e S. Paulo vão ver obras deste artista. Aplausos.
 
José Carlos Abrantes | 1:32 da tarde | 0 comments
IMAGENS DE CINEMA: O CINEMA BRASILEIRO

Uma separata do Cahiers du Cinema (de Outubro) é dedicada ao cinema brasileiro, agora tão pouco divulgado entre nós. A globalização, neste caso, só nos trouxe as telenovelas. Alias, um dos textos, intitula-se Globale Télé e tem o subtítulo Economiquement et esthétiquement, Les Telenovelas dominent le cinema. Há um texto de Glauber Rocha e uma breve história do cinema brasileiro em poucas linhas. Mais Brasil sem praias, precisa-se, apesar de estas serem divinas....
Capa
 
José Carlos Abrantes | 12:11 da tarde | 0 comments
quinta-feira, dezembro 15, 2005
O CHÃO QUE PISAMOS

O CHÃO QUE PISAMOS*
 
José Carlos Abrantes | 11:31 da tarde | 0 comments
JORNALISMO e MEDIA

A Assembleia da República, aprova hoje a lei que permitirá a nomeação de um provedor de televisão e rádio, o que será uma inovação no funcionamento do serviço público (ver o DN de hoje).

Na Livraria Almedina, segundo relato do jornal Público, discutiu-se recentemente o jornalismo on line. O responsável do Diário Digital revelou que parte das receitas vêem da organização de colóquios, o que dá muito dinheiro. Porque será que a imprensa de referência não olha para este exemplo e para o "The Economist"?
 
José Carlos Abrantes | 11:29 da tarde | 0 comments
 
José Carlos Abrantes | 4:34 da tarde | 0 comments
segunda-feira, dezembro 12, 2005
PROVEDORIAS

Quanto sabes, tanto vales

Dar informação pertinente aos leitores é um imperativo do jornalismo

“Venho por este meio manifestar o meu desagrado por o DN ter no seu elenco de colunistas um dos mandatários da candidatura presidencial de Mário Soares, que não se inibe em usar essa tribuna para fins claramente eleitoralistas. Refiro-me obviamente a Joana Amaral Dias. Esse facto já por si estranho é ainda agravado pela falta de menção das funções actualmente desempenhadas por Joana Amaral Dias. (..) ao omitir essa informação aos leitores está-se a privá-los de um elemento importante para a ponderação dos seus escritos. Seria bom que o DN tivesse uma postura semelhante à do jornal Público que identifica sem ambiguidades as actividades profissionais ou outras desempenhadas pelos seus articulistas.”
António José Teixeira, Director do DN, explicou a opção actual e referiu mudanças futuras: “Os leitores têm, obviamente, toda a legitimidade para gostar ou não gostar dos colunistas deste ou daquele jornal. Têm, inclusive, legitimidade para pensar que uma determinada personalidade não pode figurar entre os colunistas de um jornal por ter um determinado posicionamento político.
A colunista que merece as observações do leitor já era colunista do DN antes das eleições presidenciais e antes até desta direcção ter iniciado o seu trabalho. É público, notório e assumido que Joana Amaral Dias é mandatária para a juventude de um candidato a Presidente da República. Não é nessa qualidade que escreve no DN. E também não é por ter essa qualidade que deve ser limitada na sua escrita semanal. Outros colunistas do DN têm outros posicionamentos perante as eleições presidenciais e, livremente, têm escrito o que entendem. Também não é por isso que são colunistas do DN.
Admito que haverá vantagem em fornecer ao leitor uma identificação profissional dos colunistas. É uma situação que, brevemente, o DN irá alterar. Mas isso nada tem a ver com as preferências eleitorais de qualquer dos seus colunistas. Ou será que a identificação de um colunista que, publica e notoriamente, assume o estatuto de apoiante de um candidato é mais importante do que a de outro de, não a assumindo, vai dando conta das suas opiniões sobre a matéria? Teremos que exigir a identificação das preferências eleitorais de todos os colunistas?”

A legitimidade da escrita de Joana Amaral Dias, como de outros articulistas, não pode ser posta em causa. Algumas queixas de leitores vão no sentido de silenciar alguns dos cronistas ou de considerarem inadmissíveis as suas opiniões. Mas a democracia não se conjuga com silenciamentos mas sim no terreno dos argumentos e da sua partilha pública.
No respeitante à identificação profissional, os leitores vão ganhar com a medida anunciada por António José Teixeira. A opinião de um colunista ganha pertinência se soubermos que este é, por exemplo, especialista em sismologia ou sociólogo. No Le Monde de sábado temos crónicas assinadas por um cozinheiro (artigo sobre gastronomia), um historiador (sobre laicidade), um administrador de empresa (guerra do algodão). Um caso curioso é o de um artigo de um produtor de televisão, mas que escreve sobre questões ambientais. No fim do artigo, é aposta uma segunda qualidade: diz-se que o cronista é presidente da Fundação para a natureza e o homem, fundação que tem o seu nome. Num outro artigo, escrito por dois colaboradores, usa-se o mesmo critério de dupla identificação.
Em relação ao problema levantado pelo leitor, considero que ler a crónica da mandatária para a juventude da candidatura de Mário Soares com tal menção expressa, tem mais valor informativo do que a sua leitura sem que tal menção seja incluída. Aliás, o mesmo acontece com outros articulistas, como Vasco Graça Moura, Diogo Pires Aurélio, Pedro Lomba, Daniel Proença de Carvalho, José Medeiros Ferreira, João Cravinho, Jorge Coelho, sendo os primeiros membros da comissão política da candidatura de Cavaco Silva e os três últimos da comissão política de Mário Soares. É verdade que a posição da cronista como mandatária é pública e notória, bem como a dos outros cronistas. É verdade também que Joana Amaral Dias, como José Medeiros Ferreira, fizeram, simultaneamente, nas crónicas de 25 de Outubro, uma declaração de intenções, o que não foi o caso de outros cronistas. Joana Amaral Dias escreveu: “ Como se sabe sou mandatária para a juventude da candidatura de Mário Soares e integro a sua comissão política. Fica a nota, em nome da transparência.” inclusão de uma nota permanente em cada artigo é uma opção editorial que ultrapassa os cronistas na sua tomada de posição individual. Mas esta deveria existir. Porquê? Haverá sempre leitores distraídos. Sobretudo exigindo a uns, o que perdoam a outros. E, neste caso, há mais valias informativas, na junção dessas qualidades, de mandatários e/ou membros das comissões políticas: por um lado, a opinião sobre as eleições ganha a legitimidade própria que deriva do cargo ou posição. Por outro lado, dá aos leitores elementos para situarem essa opinião. Há ainda uma terceira vantagem na identificação: a de dar a reflectir sobre se a opinião publicada não estará, por vezes, demasiado centrada na vida política tradicional e pouco centrada nos problemas de sociedade. O exemplo citado do jornal francês mostra que seria benéfico para os leitores saberem, alguma ligação do articulista a qualquer domínio ou função que ajude a melhor situar as opiniões emitidas, mesmo em domínios não políticos. No caso das actuais eleições, se o cronista não escrever sobre as eleições ou sobre assunto afim, a indicação desse estatuto não terá razão de ser. Dar informação pertinente aos leitores é um imperativo do jornalismo e sua marca identitária. E não pode deixar de ser uma “reivindicação” dos provedores.

BLOCO NOTAS

Outros cronistas
Não parece semelhante o caso de qualquer outro cronista que escreva sobre as suas preferências eleitorais. É o caso de Vicente Jorge Silva, no DN de domingo, que revela a sua intenção de voto, ao mesmo que tempo que considera ser outro candidato o provável vencedor das eleições. Mas ninguém lhe pediu para revelar essa intenção de voto, nem parece haver alguma razão que aconselhe a inclusão de informação adicional sobre o seu posicionamento em relação às candidaturas.

Memória
Seria preciso dar mais atenção à memória do jornalismo: as instituições, a sua história, o viver quotidiano dos seus profissionais. A história oral também não é muito acarinhada em Portugal. E há muitos profissionais de jornalismo e fontes ou protagonistas que poderiam ser ouvidos para melhor se entender, por exemplo, o conflito do República, o encerramento do Século ou, pura e simplesmente, a história de um jornal como o Diário de Notícias.

Discordâncias
O leitor António Silva Carvalho reagiu a uma crónica recente “Quem decide o que é notícia” (7 de Novembro de 2005). Depois de referir “a circunstância de, em múltiplas ocasiões, eu ter tentado contribuir (geralmente em vão) com opiniões pessoais ou com uma ou outra informação (de interesse nacional mas porventura “inconvenientes”) para o chamado “espaço público”, o leitor considera que a imagem que tem dos media e dos jornalistas “não coincide com a imagem um tanto “idílica” que o Sr. Provedor agora adiantou.” O leitor considera que o jornalismo não admite críticas : “Nunca vi, aliás, nenhuma crítica, por mais pertinente e justa ela fosse, ser assumida / admitida / reconhecida como válida pelo jornalista / órgão em causa. Considera que muitas vezes os critérios internos que defendi para a elaboração das notícias, , o que aconteceu foi que os n/ noticiários, anteriormente censurados a partir de uma entidade externa (e "fascista"), passaram a espelhar, quer os preconceitos ideológicos dos jornalistas (exemplo máximo: o DN durante o PREC), quer todo o lixo que é suposto vender melhor. Em terceiro lugar Foram os próprios jornalistas quem subverteu as regras de ouro da profissão, é bom não esquecer isso! E os controlos de que o Sr. fala, não são mais que controles teóricos, de reduzida ou nula eficácia na prática.” O leitor termina dizendo: “Oxalá esta mensagem seja, ao menos, lida até ao fim. Apesar da sua quase garantida inutilidade.” Não só foi lida, como foi dada ao conhecimento dos leitores, embora parcialmente. Pena que fosse tão longa, como, aliás, o próprio leitor lastima.


Escreva
Escreva sobre a informação do DN para provedor2005@dn.pt
Para outros assuntos : dnot@dn.pt

(texto de 2a feira, 12, no DN)
 
José Carlos Abrantes | 8:49 da manhã | 0 comments
Pôr as mãos na massa

Em 2005, fizeram-se muitas imagens e sons, criaram-se páginas web, fotografaram-se acontecimentos e montaram-se muitas peças de teatro. É normal que assim seja em sociedades como a nossa. Podemos apreciar um concerto, consultar a internet, fruir uma exposição de fotografia ou uma instalação. Durante muitos anos a Fundação Calouste Gulbenkian foi um oásis na oferta cultural em Portugal. Felizmente tem havido a expansão de equipamentos para consumo cultural, o que é positivo. A partir dos anos 90, o Centro Cultural de Belém foi um marco, tal como a Culturgest ou a Fundação de Serralves. Em Coimbra criou-se o Centro de Artes Visuais e, mais recentemente, abriu a Casa da Música no Porto, onde antes, já aí tinha sido criada a Casa da Animação. O Cinanima tem anualmente lugar no Centro Multi-Meios de Espinho. Em Cascais existe um Centro Cultural, como em muitas outras cidades e vilas. Em Serpa há um magnífico anfiteatro, onde tem sido realizado o Doc’s Kingdom, uma iniciativa de divulgação do cinema documental. Almada inaugurou este ano um novo teatro, o que vai dar ao Festival de Joaquim Benite um novo espaço.
Antes das autárquicas, um grupo de pessoas ligadas à cultura considerou que não seria preciso expandir mais a rede de locais de oferta cultural, pois esta seria satisfatória. De facto, haverá ainda alguns desequilíbrios, regionais ou por sector. É muito positivo que os cidadãos tenham locais para consumir, para ver e partilhar as obras de arte, a criação. Mas há outra dimensão que deve ser analisada: a expressão dos cidadãos, individual ou em grupo, pois ocupar o tempo de formas gratificantes é um objectivo de todos. Vale a pena ocupar o tempo na criação de objectos culturais e de análise da vida quotidiana: vídeo, fotografia, cinema, imagem digital, os gestos da criação teatral. Ora, faltam locais onde as populações, nomeadamente os jovens, os idosos, os excluídos ou outros grupos, possam, devidamente enquadrados e utilizando equipamentos colectivos, ocupar o seu tempo de forma criativa. Isso falta como o pão para a boca. E podia não faltar. Há sempre locais que estão ciclicamente a ser apontados como devendo continuar como espaços de cultura, mesmo ao perderem essa função, caso do cinema Europa, no bairro de Campo de Ourique, em Lisboa, por exemplo. Carmona Rodrigues reconheceu recentemente, numa entrevista ao DN, que, no Parque das Nações, falta um espaço cultural. Tudo leva a crer que a colecção Berardo vai ser aí acolhida. Tudo bem! Mas porque será que a cultura é quase sempre a cultura do consumo, do ir ver, do olhar? Não do fazer. Abram-se ao lado lugares onde as mãos e o pensamento se possam aliar. Lembro também o cinema S. Jorge, em Lisboa, outro bom exemplo. É um local de exibição que ainda não encontrou identidade. Instale-se numa parte um estúdio de vídeo, feito com meios modestos, comprem-se algumas câmaras digitais (vídeo e fotografia), faça-se um acordo com quem tem saberes no vídeo, na fotografia, na manipulação de imagem em computador. Ou contratem-se monitores. Abra-se essa estrutura das 9h às 24h. Ponham-se computadores em acesso fácil com programas de tratamento e criação de imagens. Mantenha-se uma pequena sala para exibição de filmes feitos por realizadores portugueses, nomeadamente documentários. Deixem-se os criadores novos, amadores, falar com os antigos. Estimule-se a intervenção de realizadores de cinema ou criadores de vídeo, de documentaristas, de encenadores. Não para fazerem os seus espectáculos, mas para orientarem e ajudarem na criação das obras dos outros, dos amadores, dos cidadãos. Exibam-se os vídeos feitos pelos criadores desta estrutura, convidando os públicos envolvidos nas filmagens. Enfim, programas e projectos não faltarão. A Europa audiovisual como se faz? Com o consumo apenas, ou também com a produção? Como se ajudam os jovens a crescer? Na rua ou a fazer obra útil? O investimento em equipamentos, espaços e recursos para a criação é uma exigência das sociedades modernas.
É uma tarefa para as Câmaras, também. Pensemos um novo Parque Mayer não apenas com teatros, mas com outros espaços de criação.
Aqui e além existem já alguns locais de acesso, ateliers que se organizam, serviços educativos que põem em actividade crianças e jovens, o que é positivo. Mas há um esforço maior a fazer neste domínio e que seria muito útil ao país. É melhor gastar em formação e criação do que em repressão ou reabilitação. É melhor criar emprego, que subsidiar o desemprego. Senhores presidentes das Câmaras, senhora Ministra da Educação, senhora Ministra da Cultura: o olhar constrói-se vendo, mas também fazendo. A participação na vida pública deve ser feita nas eleições mas também no dia a dia. Vendo, ouvindo, pensando, fazendo, discutindo. Criando contextos onde os valores de solidariedade e de cooperação possam frutificar. Onde horizontes de esperança se desenhem, sobretudo onde esta escasseie. E, não esqueçamos que parte importante da “massa” de hoje são os símbolos com os quais nos contamos estórias do presente e do passado, refiram-se estas ao que nos acontece ou ao que imaginamos. É preciso pôr as mãos na massa.

(publicado no Expresso de sábado, dia 10)
 
José Carlos Abrantes | 8:44 da manhã | 0 comments
sábado, dezembro 10, 2005
BLOGUES NA IMPRENSA

No Ponto Media, de António Granado, refere-se um memo do The New York Times sobre blogues:

"O JORNAL The New York Times lançou-se nos blogs e um dos directores escreveu um memorando à redacção que vale a pena ler:

We’ll use the technology our way. Our bloggers will have editors. They will observe our normal standards of fairness and care. They won’t float rumors or take journalistic shortcuts. Critics and opinion columnists can have opinion blogs; reporters can’t."

Esta posição leva naturalmente à discussão sobre a característica de não edição ou de imediaticidade que, em geral, se tem, atribuído aos blogues. O mais natural é que a evolução dos blogues se faça em diferentes sentidos e que uns sejam editados, outros não.
 
José Carlos Abrantes | 12:04 da tarde | 0 comments
IMAGENS E DIREITOS DO HOMEM

Pedro Palma Livro Caricaturas

Saiu hoje, vendido com o Público, um livro de caricaturas de Pedro Palma. Há caricaturas de defensores e de violadores dos direitos humanos, e ainda uma outra série, classificada de editorial, com situações relativas a tais direitos.
 
José Carlos Abrantes | 10:45 da manhã | 0 comments
sexta-feira, dezembro 09, 2005
IMAGENS DO PASSADO
Avenida da Liberdade
Como estará agora (18h 19m, de sexta feira..) a Avenida da Liberdade?
 
José Carlos Abrantes | 6:18 da tarde | 0 comments
Ciclo Comunicação
Discutir o Jornalismo

Organização: Filipa Melo e Almedina

Jornalismo Online
13 Dezembro, 3ª feira, 19:00 horas

Com José Vítor Malheiros (director Público.pt), Nuno Henriques Luz (director Portugal Diário) e Filipe Rodrigues da Silva (director Diário Digital)

História e evolução do jornalismo online em Portugal. Suportes tecnológicos, viabilidade económica e formação de profissionais especializados. Que critérios para a selecção de informação? Que interacção com o público? Ciberjornais, blogues e media tradicionais. Ética e limites do jornalismo online.

Livraria Almedina
Atrium Saldanha, loja 71, 2º piso
Lisboa

(enviado por Paula Lopes)
 
José Carlos Abrantes | 3:11 da tarde | 0 comments
FALAR DE BLOGUES com José Pacheco Pereira (6)

"Um colunista e intelectual respeitado não prescindiu de usar a blogosfera para se exprimir. Que consegue José Pacheco Pereira com o blogue que não seja possível com os livros, a coluna na imprensa ou as intervenções na rádio e na televisão? "

A resposta foi tudo! Em certo sentido é surpreendente que assim seja. Pois José Pacheco Pereira não deixa de escrever para publicar em livro, de estar presente na rádio, de intervir na televisão. Ou seja: cada um destes meios terá a sua especificidade e a sua mais valia em relação aos outros. Mas também é certo que os blogues são hoje terrenos de expressão abertos a tudo de que gostamos. Daí que se compreenda este tudo do historiador.

Aliás algumas reflexões giraram à volta da "surpresa" que alguns revelam por no Abrupto estar a astronomia e arte. José Pacheco Pereira lembrou que era um interessado pela astronomia desde a juventude, desde que comprou um pequeno telescópio mesmo e que escreveu sobre crítica de arte, num jornal do Porto. Destas omissões, lembrou a falta de memória do jornalismo.

Mas começo mesmo a pensar que estes comentários nunca mais terminam. O melhor é mesmo tentar pôr um podcast com o som captado.
 
José Carlos Abrantes | 12:22 da tarde | 0 comments
FALAR DE BLOGUES com José Pacheco Pereira (5)

O Público esteve presente no Falar de Blogues de quarta feira, mas não levou fotógrafo, pois insere uma foto de arquivo, sem mencionar. Mas esteve um jornalista, Hugo Beleza: "Os blogues são instrumentos influentes da cultura de elites" é o título da peça.
 
José Carlos Abrantes | 12:15 da tarde | 0 comments
quinta-feira, dezembro 08, 2005
FALAR DE BLOGUES 2006

O que programar para 2006 no Falar de Blogues? Estou com vontade de voltar aos blogues no feminino, pois foi um debate bastante animado, antes e depois. Discutir talvez o papel dos blogues no mundo da comunicação, nomeadamente no jornalismo. Não é a questão de saber se os blogues são jornalismo. É a questão de saber como estes influem no jornalismo, que lugar devem ocupar na inprensa escrita e nos media. E que lugar estão eles a ocupar na cultura de hoje? Estarão os blogues a ser um movimento de massas (pelo número) mas com uma influência quase exclusiva nas elites? Há também as "novidades": os podcastings e os videoblogs.
 
José Carlos Abrantes | 11:17 da tarde | 3 comments
FALAR DE BLOGUES com José Pacheco Pereira (4)

José Pacheco Pereira defendeu que um dos pontos fundamentais com os quais podemos capacitar os cidadão é o das literacias. Ser capaz de ler, de entender uma imagem ou de destrinçar um sítio credível de outro não credível. Educação para os media, Educação à imagem, domínios em que temos grande necessidade de i.

A sua intervenção fez-me recordar a investigação Os Jovens e a Internet. Uma das conclusões em vários países foi precisamente a necessidade de dar capacitação aos jovens para estes entenderem a origem das informações na net, para terem uma ideia mais concreta sobre as diferentes credibilidades dos diferentes sítios ou informações da net.
 
José Carlos Abrantes | 11:14 da tarde | 0 comments
FALAR de BLOGUES com José Pacheco Pereira (3)

Ontem, José Pacheco Pereira divulgou a abertura de um novo blogue de sua autoria Alvaro Cunhal Uma Biografia Política. O blogue é "dedicado a coligir críticas, apontamentos, notas, correcções, errata e corrigenda, documentação anexa aos três volumes da biografia de Álvaro Cunhal".
Julgo ser uma excelente ideia. Também tenho tentado colocar fotografias no livro 1001 Razões para Gostar de Portugal, que foi editado apenas com imagens na capa. Já fiz mesmo um blogue, Aplausos e Assobios, que, em certo sentido tentava prolongar o livro. Criei hoje um blogue, 1001 Razões para Gostar de Portugal: Blogue do Livro para prolongar com imagens e outras reflexões a ideia do livro.
 
José Carlos Abrantes | 7:37 da tarde | 0 comments
MEMÓRIAS
Memórias
Não me lembro do Cais de Sodré, assim. O postal não tem data. 1930? 1940?
 
José Carlos Abrantes | 4:54 da tarde | 0 comments
FALAR DE BLOGUES com José Pacheco Pereira (2)

Encerrou-se ontem o ciclo Falar de Blogues. Semi-encerrou-se. De facto, havia sido pensado, entre mim e a Paula Lopes, responsável dos colóquios da Livraria Almedina, que o ciclo se resumiria a três conferências. Mas o interesse das sessões, bem como a participação de público, vai estender o ciclo para de 2006. Como já havia um compromisso para três Falar de Olhares, teremos, assim, em 2006, dois ciclos sob minha orientação: um, Falar de Blogues, que continuará o ciclo deste ano; outro, Falar de Olhares, que abrirá para as questões do olhar, vista de diferentes prismas e com intervenientes de diveros quadrantes. O gosto da mestiçagem. Dos olhares cruzados.

Este primeiro post lembra o que foi dito ontem no FdB. O ciclo iniciou-se devido a uma conversa que tive com José Pacheco Pereira, em Abril, num outro debate sobre provedores de televisão. Perguntei ao José Pacheco Pereira se estaria de acordo em vir falar sobre o Abrupto. Disse logo que sim, com entusiasmo. Juntei o Falar de Blogues no Feminino (13 de Otubro) e a História e Perspectivas (10 de Novembro). Em boa hora.

Ontem foi um prazer estar com ele e com um público numeroso e participativo. Fiquei a compreender melhor o Abrupto. Apreciei muitas reflexões que ouvi e que, quase sempre, reforçaram convições ou intuições que tinha. Uma delas é a de que não saberia passar sem editar um ou mais blogues.
 
José Carlos Abrantes | 12:22 da tarde | 0 comments
FALAR DE BLOGUES com José Pacheco Pereira (1)

OIndústrias Culturais escreveu sobre o Falar de Blogues com José Pacheco Pereira.

Falar de Blogues com José Pacheco Pereira

A foto é de Rogério Santos (tive um percalço técnico e as poucas que fiz, do público, perderam-se).
 
José Carlos Abrantes | 8:24 da manhã | 0 comments
quarta-feira, dezembro 07, 2005
Ainda outros LIVROS

Os de Rebecca Blood. Tenho um deles, mas não o encontro. Ficam as referências.

Blood, R., The Weblog Handbook, Cambridge, Perseus Publishing, 2002

Blood, R. et al. , We've got blog: How weblogs are changing our culture, Cambridge, Perseus Publishing, 2002
 
José Carlos Abrantes | 5:19 da tarde | 0 comments
AINDA OUTROS LIVROS
Livro António Granado e Elizabete Barbosa

Granado, A. e Barbosa, E., Weblogs: Diário de Bordo, Porto, Porto Editora, 2004
 
José Carlos Abrantes | 2:45 da tarde | 0 comments
OUTRO LIVRO

Amizades virtuais, paixões reais: A sedução pela escrita é mais recente livro de Paulo Querido, embora não seja apenas sobre blogues. A primeira parte incide sobre a comunicação instantânea, do chat (IRC, MSN, SMSTV). Na segunda trata dos blogues, photoblogs, podcastings et videoblogs. Paulo Querido inseriu algumas entrevistas a jovens, o que dá alguma vivacidade suplementar ao livro.
Livro Paulo Querido

Querido, Paulo, Amizades virtuais, paixões reais: A sedução pela escrita, Lisboa, Centro Atlântico, 2005
 
José Carlos Abrantes | 1:24 da tarde | 0 comments
BLOGUES

Vou dar destaque alguns livros sobre blogues, hoje.

Blog Story

Blog Story
É o título de um livro publicado em França e que já está em segunda edição (Paris,Eyrolles, 2004). Os autores são Cyril Fievet e Emily Turretini, ele jornalista, ela editora de um sítio e também autora de blogues. O livro desenvolve 10 razões para blogar e contém também algumas indicações práticas.

Fievet, C. e Turretini, E., Blog Story, Paris,Eyrolles, 2004

ver mais informação aquina crónica A CNN do século XXI?

FALAR DE BLOGUES III
7 de Dezembro, 4ª feira
Falar de Blogues com José Pacheco Pereira
Autor do Abrupto. Ensaísta.

Um colunista e intelectual respeitado não prescindiu de usar a blogosfera para se exprimir. Que consegue José Pacheco Pereira com o blogue que não seja possível com os livros, a coluna na imprensa ou as intervenções na rádio e na televisão?

Organização: José Carlos Abrantes e Livraria Almedina
Atrium Saldanha, às 19h
 
José Carlos Abrantes | 9:56 da manhã | 0 comments
MEMÓRIAS EM IMAGENS

Arte Século XX, curso

Agosto, 2005, CCB
 
José Carlos Abrantes | 12:33 da manhã | 0 comments
terça-feira, dezembro 06, 2005
BOM DIA

KLIMT
Está em Paris, demora-se uma eternidade a entrar, há muita gente. Mesmo assim é um deslumbramento a exposição de Klimt, Schiele, Moser e Kokoshka. Não estava o Beijo, mas a sensualidade passa, mesmo na pintura de paisagem. No Grand Palais.
 
José Carlos Abrantes | 12:28 da manhã | 0 comments
PROVEDORIAS 4

Pode ler aqui a crónica de 2a feira, dia 5.
 
José Carlos Abrantes | 12:13 da manhã | 0 comments
segunda-feira, dezembro 05, 2005
UMA REVISTA SOBRE IMAGENS

Mediamorphoses 14

Saiu o nº 14 da revista Mediamorphoses. A revista é dirigida por Geneviève Jacquinot-Delaunay. Um dos atractivos deste número é uma entrevista com Marc Augé, antropólogo, autor de uma obra vasta (entre outros Génie du Paganisme (Gallimard, 1982), La Traversée du Luxembourg (1985), Un ethnologue dans le métro (1986), Non-Lieux (Seuil, 1992), Domaines et châteaux (1992), Le sens des autres (Fayard 1994), Pour une anthropologie des mondes contemporains (Aubier 1994), Fictions fin de siècle (Fayard, 2000), Journal de guerre (Galilée 2002. A entrevista intitula-se Les rivages des images e é feita por Frédéric Lambert e Jocelyne Arquembourg, ambos semiólogos. Um dos conceitos chaves desenvolvido por Marc Augé é o de relação ("je crois avoir une relation avec celui qui est sur l'écran de télévision" ou "je dirais que l'essentiel tient dans le mot "relation"). Interessante para nós na procura dessa relação de "nós" com as imagens. Ou das imagens umas com as outras, com as palavras, com os contextos. Marc Augé discorre sobre as diferentes recepções dos acontecimentos mediáticos, da adesão e da apropriação das imagens, da necessidade de educação para os media, nomeadamente pela produção de imagens.
Outro interesse deste número é o dossier Peut-on psychanaliser les médias? Como se pode psicanalisar os media, se a psicanálise se interessa pela esfera privad e os media intervêm no espaço público, interroga Geneviève Jacquinot-Delaunay no texto de abertura. O dossier tem contribuições intituladas Investigações e outras Testemunhos.
 
José Carlos Abrantes | 1:05 da tarde | 1 comments
FALAR DE BLOGUES III
7 de Dezembro, 4ª feira
Falar de Blogues com José Pacheco Pereira
Autor do Abrupto. Ensaísta.

Um colunista e intelectual respeitado não prescindiu de usar a blogosfera para se exprimir. Que consegue José Pacheco Pereira com o blogue que não seja possível com os livros, a coluna na imprensa ou as intervenções na rádio e na televisão?

Organização: José Carlos Abrantes e Livraria Almedina
Atrium Saldanha, às 19h
 
José Carlos Abrantes | 7:58 da manhã | 0 comments
domingo, dezembro 04, 2005
PROVEDORIAS 3

Uma entrevista de um filósofo bastante conhecido em França, Alain Finkielkraut, a um jornal israelita, desendeou reacções fortes em França. O Le Monde, num primeiro momento, publicou alguns excertos da entrevista. Num segundo moento o jornal publicou uma entrevista com o filósofo.

Uma das críticas do provedor, Robert Solé, diz respeito à falta de hábito da redacção fazer o link para o texto original, o que também poderia ser feito nas versões on line em Portugal.

"Il n'y a eu, de la part du Monde, aucun "montage", mais un choix des citations. Ce sont les plus frappantes et les plus polémiques (mais pas toutes) qui ont été choisies, comme souvent dans la presse. Les déclarations d'Alain Finkielkraut au journal israélien méritaient-elles un article plus long ? Sans doute. Il est sûr en tout cas que Le Monde du 24 novembre aurait dû renvoyer au texte complet en donnant l'adresse électronique du site de Haaretz. C'est un réflexe qui n'est pas encore entré dans les habitudes de la rédaction."

Outro aspecto focado é o do Le Monde permitir ao entrevistado que este reveja o texto final, o que parece estar a acontecer em certos casos.

"Toujours est-il qu'après les protestations du philosophe, et à sa demande, Le Monde l'a interviewé à son tour, longuement, dans son numéro daté 27-28 novembre. Il l'a même autorisé, compte tenu de la nature de ce débat, à revoir le texte avant publication et à y porter des corrections.

O provedor termina encorajando a mais debate e, também, a inclusão de outras vozes.

"Il me semble cependant que deux choses ont manqué. D'une part, quelques rappels sur les travaux et les engagements d'Alain Finkielkraut ; d'autre part, la réponse d'un autre intellectuel sur cette question de fond. Ayant lancé un débat, il appartient au Monde de le poursuivre, au-delà des anathèmes et d'une guerre de communiqués."

Um aspecto importante da polémica deriva de o filósofo ter defendido a ideia que "(..) la crise des banlieues était une "révolte ethnico-religieuse", evocando Dieudonné, "le vrai patron de l'antisémitisme".
 
José Carlos Abrantes | 9:46 da tarde | 0 comments

PROVEDORIAS 2


A crónica de hoje, domingo, de Sebastian Serrano incide sobre a entrada em vigor do El Diccionario panhispánico de dudas e das repercussões nos leitores e nos livros de estilo dos órgãos de comunicação social.

"EL PAÍS, como medio del Grupo PRISA, se ha comprometido a aplicar este diccionario, aprobado por las 22 Academias de la Lengua Española. Junto con otros 36 medios y grupos de comunicación, suscribió el 10 de noviembre una declaración nada ambigua: "Conscientes de la responsabilidad que en el buen uso de la lengua nos impone el poder de influencia de los medios, nos comprometemos a adoptar como norma básica de referencia la que todas las Academias han fijado en este Diccionario panhispánico de dudas, y animamos a otros medios de comunicación a sumarse a esta iniciativa".

Esta obra se sobrepone al Libro de estilo, que durante un cuarto de siglo ha complementado las normas lingüísticas de aplicación general y establecido las pautas que deben seguir los periodistas de este diario. ¿Cómo afectará el nuevo diccionario al Libro de estilo?

La dirección del diario ha encargado ya la tarea de cotejar ambas obras, como primer paso para adaptar el Libro de estilo a la nueva situación.

José Martínez de Sousa, lexicógrafo y autor del Diccionario de usos y dudas del español actual, está convencido de que la nueva obra y los libros de estilo de los diferentes medios convivirán porque cumplen funciones diferentes: el nuevo diccionario expone y explica pero no siempre resuelve, mientras que los libros de estilo fijan cuál de las varias opciones es la que debe utilizar el periodista."

 
José Carlos Abrantes | 9:36 da tarde | 0 comments
IMAGENS EM LIVRO

la tele nous rend fous

Trata-se de uma pequena antologia que inclui textos de Daniel Schneidermann, Dominique Wolton, Georges Orwell, Jean Cluzel, Jean-Philipe Toussaint, Marc Jézégabel, Pascal Lainé, Ray Bradbury, Robert Sheckley, Serge Joncour, Serge Tisseron e Vincent Cespedes.

Os textos dão visões diferenciadas. mesmo antagónicas, dessa televisão que "nos enlouquece". Como sabemos, também há lucidez na loucura.

Kleff, Patrice (org), La télé nous rend fous!, Paris, Éditions Flammarion, 2005
 
José Carlos Abrantes | 11:43 da manhã | 0 comments
BOM DIA

Numa hora três jornais: o JN, o DN e o Público, em papel. Mais 15 minutos, em casa, no El País e no Le Monde, pela internet, hoje.
No JN li a crónica do Manuel Pinto (Provedorias 1). Um dever de ofício, mas também um gosto. O divórcio entre os jovens e os jornais bem como a alfabetização digital são os dois temas, que se ligam, da crónica de hoje. O Google é aflorado. No DN lê-se uma interessante reflexão de Miguel Poiares Maduro sobre este tema. A opinião, neste jornal, centra-se sobretudo nas eleições presidenciais (artigos de Helena Savadura Cabral, Diogo Pires Aurélio e Armando Rafael) com especial incidência os debates e cartazes televisivos. Bagão Félix analisa a retirada dos cricifixos nas escolas. Luis Miguel Viana, ainda no DN, escreve sobre a pena de morte nos EUA, lembrando que em 18 estados dos EUA nunca houve execuções e que em dos 33 em que estas têm sido adoptadas, tres estados têm parte de leão (Texas, 355), Virginia (95) e Okhlaoma (79).
No DN há ainda textos de opinião sobre Sá Carneiro e sobre Catarina Eufémia (neste caso, Ruben de Carvalho e Vicente Jorge Silva).
No Público chamou-me a atenção o texto de Mário Mesquita, sobre a prestação televisiva de Cavaco Silva e o de Eduardo Cintra Torres sobre os debates presidenciais.
Ficam para mais logo os digitais.
 
José Carlos Abrantes | 9:54 da manhã | 0 comments
sábado, dezembro 03, 2005
IMAGENS EM ARQUIVO

Estão em arquivo digital imagens relativas a Humberto Delgado.
 
José Carlos Abrantes | 10:29 da manhã | 0 comments
sexta-feira, dezembro 02, 2005
OUVIR COM ATENÇÃO

Já quase ninguém ouve. Ouvir, tal como ver, é essencial, guia-nos no mundo, nas aproximações e afastamentos, nas dúvidas, nas hesitações, nos arrebatamentos. Adoro ouvir as musicas da Bomba Inteligente. A que agora a Carla tem no blogue, Déshabillez-moi, cantada pela Juliette Gréco, tem que ser ouvida "religiosamente", mesmo até ao fim...
 
José Carlos Abrantes | 8:26 da tarde | 1 comments
OLHAR O CHÃO QUE PISAMOS

OLHAR O CHÃO QUE PISAMOS

Na Quinta das Conchas, há momentos.
 
José Carlos Abrantes | 11:05 da manhã | 0 comments
LÁ FORA, na imprensa

No Los Angeles Times escreve-se em título U.S. Military Covertly Pays to Run Stories in Iraqi Press. Não abona para os jornais em questão nem para quem paga.

“As part of an information offensive in Iraq, the U.S. military is secretly paying Iraqi newspapers to publish stories written by American troops in an effort to burnish the image of the U.S. mission in Iraq.
The articles, written by U.S. military "information operations" troops, are translated into Arabic and placed in Baghdad newspapers with the help of a defense contractor, according to U.S. military officials and documents obtained by the Los Angeles Times.“
 
José Carlos Abrantes | 7:48 da manhã | 0 comments
PALAVRAS E IMAGENS

A Bibliothèque nationale de France tem on line os catálogos e banco de imagens. O trabalho que não pude completar lá, posso agora continuar cá. Sem sair de casa. Sem neve. O que importa é que em diferentes circuntâncias o acesso seja fácil.
 
José Carlos Abrantes | 7:10 da manhã | 0 comments
quinta-feira, dezembro 01, 2005
RITITI

Parabéns à Rititi pelos 2 anos de blogue. Tinha-a convidado para o Falar de Blogues no Feminino, em Outubro. Mas a vida, em Madrid, não lhe permitiu estar à 5a feira em Lisboa. Foi ela que me pôs na pista da Carla (Bomba Inteligente), da Patricia (Megeras Magérrimas) e da Isabel(Miss Pearls). E foi a animação que se viu!
 
José Carlos Abrantes | 11:49 da tarde | 1 comments
FALAR DE BLOGUES III

Organização: José Carlos Abrantes e Almedina 7 de Dezembro, 4a feira Falar de Blogues com José Pacheco Pereira autor do blogue Abrupto. Ensaísta. Um colunista e intelectual respeitado não prescindiu de usar a blogosfera para se exprimir. Que consegue José Pacheco Pereira com o blogue que não seja possível com os livros, a coluna na imprensa ou as intervenções na rádio e na televisão? LIVRARIA ALMEDINA, SALDANHA às 19

Está aqui anunciado ao lado. Mas vale a pena avivar a memória...
 
José Carlos Abrantes | 11:35 da tarde | 0 comments
BLOGUES NO FEMININO

No sábado, Paula Mourato escreveu no DN sobre os blogues no feminino.
 
José Carlos Abrantes | 11:34 da tarde | 0 comments
IMAGENS DE PROXIMIDADE

Perdida, já sei. Outra vez será retomada. Se quiser ir ao rez de jardin tem que passar por uma entrevista e explicar a investigação que está a fazer. Uma carta de um investigador ou professor francês também pode ser pedida. Mas é uma experiencia: descer mais de 20 metros e depois estar no rez de jardin, com uma floresta especialmente ali criada, em frente do olhar.

Rez de Jardin

Se há alguma coisa pela qual não esqueço François Miterrand é pela biblioteca. Mesmo que tal seja uma eventual injustiça.
 
José Carlos Abrantes | 8:09 da tarde | 1 comments
OLHARES ESTRANGEIROS

É o título de uma exposição de fotografia que poderá ser vista até 31 de Janeiro no Espaço Fidelidade Mundial Chiado, segundo o DN de hoje.

"Foi em 1956. O fotógrafo francês Edouard Boubat tinha acabado de chegar a Portugal, instalara-se no hotel na Nazaré e, enquanto a mulher Sophie descansava um pouco, decidiu dar um passeio até à praia "Tinha chegado havia apenas meia hora e aquele homem estava ali, com a sua criança, como se estivesse à minha espera. Só tinha a minha velha Leica comigo e tirei a minha primeira fotografia em Portugal." A imagem iria aparecer na capa do seu primeiro livro, publicado no Japão e intitulado Ode Marítima, numa referência a Pessoa.

Boubat junta-se a Cartier-Bresson, Cecil Beaton, Harry Callahan, Peter Fink, George Krause, Kees Scherer, Thurston Hopkins, Brett Weston e muitos mais na exposição Olhares estrangeiros, ontem inaugurada no Espaço Fidelidade Mundial Chiado 8 Arte Contemporânea, em Lisboa. Comissariada por Jorge Calado, a exposição mostra, pela primeira vez e até 31 de Janeiro, 62 fotografias da colecção da Caixa Geral de Depósitos (CGD) com o tema "Portugal visto por artistas estrangeiros"."

A atenção dada à fotografia por bancos e seguradoras tem ajudado na maior visibilidade da fotoghrafia, arte feita para ser vista. E os olhares estrangeiros pode acrescentar mais valias nos modos de nos olharmos. Pensarmos.
 
José Carlos Abrantes | 7:50 da tarde | 0 comments
PROVEDORIAS 1

Com atraso, a crónica de 2a feira, no DN.

A CNN do século XXI?
José Carlos Abrantes

De manhã, um editor do The Guardian revela ao leitor coberturas previstas para o dia

“Blogo porque quero existir”. Esta entrada de um blogue traduz o sentir de milhões de criadores de blogues. Outras motivações existirão pois a diversidade humana também se reflecte, necessariamente, neste domínio. A explosão dos blogues tem levantado algumas interrogações sobre o seu papel. Nos media, tem-se discutido, sobretudo, se os blogues são ou não jornalismo. Uma corrente considera que a actividade jornalística está ao alcance de todos pois existe hoje a possibilidade de seguir os acontecimentos, de recolher informação sobre eles e de a publicar nas páginas dos blogues. Outros consideram que a actividade jornalística é uma actividade institucional onde os controlos são múltiplos: um texto, mesmo de um director, é visto por outros profissionais antes de ser editado. Estes controlos múltiplos dariam, ao jornalismo, fiabilidade e credibilidade, que os blogues, não poderiam reivindicar pois são formas de expressão imediatas. (1).

Alguns jornais alojaram blogues dos seus jornalistas, mesmo de leitores. É o caso do Le Monde ou The Guardian. No jornal francês os assinantes da edição electrónica do jornal podem instalar os seus blogues na plataforma para tal efeito criada. Existe uma carta reguladora e regras de conduta que os bloguers devem respeitar. Há três condições mínimas requeridas: além da assinatura, os internautas devem ter 18 anos ou mais (ou autorização paterna, se menores) e uma direcção electrónica válida. O conteúdo é da responsabilidade exclusiva do criador. Há comportamentos proibidos tais como as actividades ilegais, nomeadamente a cópia ou não distribuição autorizada de softwares, de fotografias e de imagens. É também proibida a propaganda para fins profissionais ou comerciais, bem como a cópia parcial ou total dos conteúdos do sítio do Le Monde. O jornal reserva-se o direito de retirar os blogues em caso de violação das regras existentes. Há blogues em francês, mas também em português (Brasiléia Desvairada, Impressions du Brésil par un brésilien, por exemplo) ou alemão (Sepp in Europa), como ainda noutras línguas. Há também blogues da alguns jornalistas do Le Monde. O jornal inglês The Guardian tem um newsblogue, com entradas noticiosas. Este newsblogue é dinamizado por jornalistas e editores. Numa entrada recente explica-se uma nova iniciativa: logo pela manhã, um editor do The Guardian revela aos leitores algumas das coberturas previstas durante o dia e informa sobre as discussões editoriais que vão decorrendo na redacção. Os leitores ficam assim com a possibilidade de avançarem informações, comentários e sugestões sobre a matéria noticiosa. O El País também permite desde há pouco tempo que os leitores possam corrigir notícias que estão colocadas on line.

Aproveitando a ligação à ONO (Organisation of News Ombudsman) solicitei em Outubro aos provedores da organização que se pronunciassem sobre a ligação entre os media e os blogues, nos orgãos onde exercem actividade. Um deles, Tjeu van Ras, do Brabants Dagblad, Holanda afirmou: “Estamos agora a começar com os weblogues. Eu sou o primeiro o fazê-lo. ).... No ano que vem estamos a planear abrir mais blogues de colegas e também de leitores do nosso jornal.”
Um outro jornal The Post and Courier, de Charleston, abriu um blogue durante um festival de arte que durou três semanas. “O director (executive director) considerou que tinha sido um grande sucesso.” E, entre outras coisas, tencionam ter muita atenção aos bloguers locais, “não para os controlar, dirigir ou explorar, mas porque a blogosfera local é uma “comunidade de leitores” a que nos queremos juntar e também encorajar.”
O provedor de outro jornal americano escreveu: “Descobrimos recentemente que vários jornalistas do Orlando Sentinel's têm os seus próprios blogues. Nada no actual código de ética do jornal se refere a este assunto. Porque um desses blogues levantou objecções de leitores chamando a atenção do jornal, o Orlando’s Sentinel está a estudar essa questão e planeia regular sobre o assunto na próxima revisão do código de ética.”

Em Portugal alguns jornalistas alimentam blogues, juntando às informações que veiculam, fortes cargas opinativas. Mas não parece haver objecções à sua existência. Talvez porque os autores saibam destrinçar com rigor entre o seu papel como jornalistas e como autores de blogues. Blogo porque quero existir será eventualmente mais apropriado do que blogo porque quero informar para a maioria dos milhões de blogs já existentes. Isso não impede que alguns blogs dêm informações detalhadas, originais, com uma evidência de pressupostos ou de juízos, que as “máquinas” dos media tradicionais perderam com frequência. Os blogues, quer se queira quer não, estão a obrigar a pensar os modos de fazer e de consultar informação. E os antigos leitores tornaram-se também produtores de informação própria, recolhem, analisam, comentam, criticam, sugerem, antecipam. Criando informação um campo mais largo que o jornalismo. Se não houvesse mais razões estas bastariam para que a imprensa e os media, em Portugal, olhem com mais atenção a blogosfera. Para que façam um esforço de escuta, de incorporação, de integração, de assimilação.
(1) Será que um blogue pode ser editado? Esta questão agitou em Setembro o Sacramento Bee, outro jornal americano. Um do seus jornalistas, Daniel Weintraub é autor, desde Abril, de um blogue (California Insider). Em Setembro uma directiva do jornal obrigou a que as entradas escritas fossem presentes a um editor antes de publicadas. Fortes críticas surgiram, mas nem o autor nem o provedor do jornal consideraram trata-se de uma censura ou intromissão injustificada.

BLOCO NOTAS

Blog Story
É o título de um livro publicado em França e que já está em segunda edição (Paris, Eyrolles, 2004). Os autores são Cyril Fievet e Emily Turretini, ele jornalista, ela editora de um sítio e também autora de blogues. O livro desenvolve 10 razões para blogar e contém também algumas indicações práticas.

Blogues versus media
A 5ª razão, de onde adaptei o título desta crónica interroga se os blogues serão a CNN do século XXI. Os autores consideram aquilo que parece uma evidência: mais do que a oposição ou a concorrência, os blogues seriam, em geral, meios complementares ao jornalismo. Muitas vezes, dizem, os leitores de blogues têm tudo a ganhar ao lerem um blogue que combina uma informação retirada de uma fonte jornalística a que é acrescentado um comentário de um especialista. E depois tentam ver algumas diferenças entre os blogues e os media.

Diferenças
Os elementos que utilizam para esta diferenciação são as audiências, a qualidade e a verdade, e a deontologia e objectividade. Nas audiência um traço distintivo reside nas maiores audiências dos media, em geral. No entanto, há blogues que registam centenas de milhar de visitas, o que torna mais complexa esta distinção. A amplificação das ideias e entradas de uns blogues por outros leva os autores aconsiderar que os critérios de medida não podem ser exactamente os mesmos.

Qualidade e verdade
“Globalmente, parece-nos um erro julgar que apenas os media têm qualidade e verdade. Um blogue também pode ser fiável, porque publicado por um autor preocupado com a qualidade daquilo que produz, porque resulta de um processo colaborativo diferente daquele que se acciona na imprensa, mas igualmente e de forma paradoxal, porque este não sofre de nenhum dos constrangimentos impostos à imprensa.”
Deontologia e objectividade ? “Os media distinguem-se pelo respeito da deontologia que leva, nomeadamente, a apresentar informações objectivas, veridicas e conformes à lei. “ Os autores referem depois que alguns tentam aplicar estes princípios aos blogues. “Tais tentativas parecem-nos absurdas”, dizem. Um autor de um blogue não pode aderir a um codigo deontológico que ternda a impôr a objectividade como uma vertude, dizem. “Trata-se mesmo do inverso. Um blogue é, muito frequentemente, redigido na primeira pessoa do singular. Assim o blogue constitui a expressão pessoal de um indivíduo e o seu interesse vem precisamente da liberdade que se concede a este indivíduo, no respeito da lei evidentemente, quanto ao que ele escolhe, diz e publica.”

Escreva
Escreva sobre a informação do DN para provedor2005@dn.pt
Para outros assuntos : dnot@dn.pt
 
José Carlos Abrantes | 7:47 da tarde | 0 comments
IMAGENS DE PROXIMIDADE

Proximidade que foi, deixando de ser. Sábado, dia 26, nevava cá fora.BFM NEVE

Mas dentro tudo era tranquilo e confortável. Livros por todo o lado. Jovens também. Centenas, mesmo milhares, julgo.

BFM Interior

Tenho sempre uma interrogação que me atravessa quando vou à Biblioteca François Miterrand: o nosso país, que constrói estádios de futebol para estarem semi-vazios, não poderá criar mais e melhores bibliotecas para estarem cheias?
 
José Carlos Abrantes | 5:00 da tarde | 0 comments
Bom dia! De regresso com imagens e palavras.
 
José Carlos Abrantes | 9:02 da manhã | 0 comments